HABITER la Porte d’en bas, un quartier la Ville
Slogan du site

Site de l’association "Habiter la Porte d’en bas, un quartier, la Ville" dont l’objet est la préservation et la mise en valeur du patrimoine dans ses aspects culturels et naturels, îlots, rues, places, jardins, bâtiments et monuments, paysages, présence de la nature en ville, ainsi que le développement d’une urbanité responsable, dans tout l’espace intercommunal partagé. Le lieu dit la Porte d’en Bas est situé à l’est du Centre village de Bagneux (92220).

Parcours à Bagneux - Fête de la nature 2010
Un premier rendez-vous piéton de l’association le dimanche 23 Mai 2010

A l’occasion de la Fête de la nature 2010, l’association a invité tous et toutes à rejoindre un groupe de curieux avides de découvrir la nature en ville. Suivons leurs pas : l’itinéraire et le diaporama.

Article mis en ligne le 28 septembre 2010
dernière modification le 13 octobre 2010

par Lucy

En cette chaude et calme après-midi du dimanche 23 mai 2010 le parcours piéton imaginé par l’association pour la Fête de la nature 2010 - année internationale de la bio diversité - a pris son départ vers 15H00 à l’angle des rues de la Porte d’en Bas et P. Neruda à Bagneux et privilégiait un itinéraire à travers sentiers, ruelles, friches, jardins et parcs pleins de charmes ... par nature.

Un bon groupe de participants - balnéolais majoritairement et proches voisins (fontenaisiens, reginaburgienne, malakoffiots, parisiens) s’est retrouvé dimanche devant l’entrée de l’école Albert Petit, côté rue de la Porte d’en Bas - rue Pablo Neruda.

Appréciant l’ombre bienvenue ce jour-là de deux majestueux pawlonias en pleine floraison - en "hommage prémonitoire" car ces malheureux arbres sans le préalable de soins phytosanitaires furent radicalement abattus la semaine suivante à la triste surprise des riverains et passants (photos jointes) - tous ceux venus à ce rendez-vous sont alors impatients ... le parcours piéton promet la découverte de petits joyaux de nature inattendus et méconnus au pourtour et au centre ville de Bagneux.

L’annonce et la parution de cette initiative sur le site internet national officiel de La Fête de la Nature avaient donc été utiles : cette manifestation a heureusement figuré parmi un petit nombre d’autres événements proposés dans le département des Hauts de Seine. Son actualité "La nature dans notre quartier, à Bagneux" et l’effet de proximité ont joué. La mise en oeuvre de cette initiative par des habitants - avec leur passion pour les sites à faire connaître - a aussi séduit les participants.

L’ITINERAIRE :

Du Parc des Marronniers (Cité J. Descamps) ...à l’horizon de la Lisette

A deux pas du lieu de rendez-vous, nous avons eu la chance d’avoir « parc ouvert » à la Maison des Marronniers (Cité J. Descamps) situé 6 rue P. Neruda. La Direction de ce Foyer d’accueil médicalisé pour adultes autistes a été très aimable, sur demande préalable, d’ouvrir les portes du magnifique parc de cette résidence dite "Maison des Marronniers", constuite au XVIIIème, remaniée au XIX ème, et de nous avoir délégué une animatrice afin de guider nos pas à travers grands arbres, pelouse, plantes sauvages, bassin, animaux de la basse cour (lapins, poules) et chèvre, et potager. La réhabilitation des locaux et installations, achevées en 2008, rendues nécessaires à l’installation de la cité J. Descamps ont su préserver l’essentiel du caractère bucolique et pastoral hérité du passé du lieu. Ainsi considérée comme bonne thérapeute, la nature joue son rôle : calmer les maux sans discrimination Nous n’entrerons pas dans la "Maison", n’ayant pas cela au programme, mais nous savons que la nature y trouve sa place, au vu des fresques de carrelages de ses murs (voir nos photos). http://www.iledefrance.fr/lactualite/social-solidarite/sante-social-solidarite/bagneux-un-nouveau-lieu-de-vie-pour-adultes-autistes/

Partant en direction du sud par la rue Pablo Neruda, on longe l’extrémité du Parc des Marronniers, là où les herbes folles, graminées à tiges hautes foisonnent sous le couvert de grands arbres, composant un fabuleux tableau entièrement dédié à une nature en liesse - pour gagner le gymnase Romain Rolland avec son espace privilégié duquel s’offre une vue exceptionnelle avec un horizon situé à plusieurs kilomètres : une allée conduisant aux entrées des installations sportives en est le sésame. Ce fut une surprise : aux yeux de tous un panorama, en plusieurs niveaux : à mi hauteur, on aperçoit la friche de la Lisette sans encore deviner ce qui va nous attendre quand on s’en approchera ... au loin c’est Fontenay-aux-Roses et le Plessis-Robinson.

En descendant le pentu et très secret sentier des Brugnauts, tout proche, fréquenté aux heures d’école par les jeunes collégiens et par des piétons connaisseurs, on observe - jouxtant des jardins d’habitations pavillonnaires - deux petits terrains à l’abandon, en attente sans doute d’autres destinations - s’y mêlent divers végétaux et plantes leur donnant allure de friches.

...Une mare et des espaces nature ...

Arrivés rue de la Lisette, c’est alors qu’on peut longer un très vaste terrain qui s’étend en contre bas jusqu’à l’avenue du Général Leclerc séparant Bagneux de Fontenay-aux-Roses. Signalé par son ’"accès interdit, danger" car une moitié de sa superficie est actuellement un dépôt de matériaux pour l’Opération de Rénovation Urbaine des quartiers Sud de Bagneux (2009-2011), cet espace était auparavant une friche naturelle, répertoriée en tant que telle et fréquentée par les riverains (terrain destiné pendant un temps par la commune à accueillir le futur lycée polyvalent, dont la ville n’est toujours pas pourvu). En curieux, il faut longer le dépôt et dévaler la sente sous les pins, tracée par les promeneurs de chiens ... avant l’escalier à rampe accédant à la cité des Cuverons. Aussitôt, la pinède instaure une ambiance feutrée bercée par le souffle aléatoire de la brise. Le sol est herbeux et tassé de terre, d’aiguilles et de racines. Les pies, corneilles et perruches vertes que l’on côtoie de près sont alors en territoire conquis. Les visiteurs deviennent explorateurs : à mi hauteur du chemin, la friche recouverte seulement de hautes herbes et d’arbustes est davantage accessible et l’on peut apercevoir cachée au loin, à travers des grillages et une haie remarquable une source baignant des iris d’eau, jaunes, et d’autres plantes hydrophiles. Moment de surprise et de fraîcheur, les photographes ont alors été très inspirés par cette découverte.

C’était le moment de rappeler combien importe dans nos territoires urbains la présence ou la reconstitution de mares - milieux propices à la vie de plantes, fleurs, petite faune et insectes qui apportent leur contribution à une biodiversité précieuse en milieu urbain où les zones humides de ce type se sont raréfiées. Pour celle-ci, protégée par sa situation au sein d’un grand pré planté aussi de saules, et bordé de haies, fermé à toute circulation - à côté des terrains du collège R. Rolland - une décision de classement a été prise par la municipalité de Bagneux : des visites peuvent être organisées sous la surveillance d’un agent du service espaces verts.

« Le vin de Bagneux, chers amis,
Est un vin délectable » ...

Retournant par le sentier emprunté sous les pins, c’est à nouveau par la rue de la Lisette, si calme, que le Clos des Brugnauts, apparaît après le collège R. Rolland. Sa vigne créée en 1982, rappelle que les vignes de Bagneux ont été abondantes et célèbres durant plusieurs siècles. A ce propos, la lecture d’un texte en forme de chanson, faisant l’éloge de chacun des "clos" qui ponctuaient de nombreux quartiers de Bagneux, avait tout autant pour objet de divertir les marcheurs que d’apporter sous cette forme attrayante une part d’information historique sur le paysage balnéolais. Nombreux sont encore les jardins et les friches à Bagneux qui possèdent des vrilles grimpantes.
Actuellement, la vigne municipale recouvre 1500 m2 pour 760 pieds de vigne répartis au 2/3 en Sauvignon et au 1/3 en Sémillon et la Confrérie Balnéolaise des Chevaliers de Bacchus en anime les festivités. Au moyen-âge, le Morillon était le cépage de Bagneux-Saint Hermeland.

Ce jour de printemps, les raisins devaient encore passer l’été avant la Fête des Vendanges fin septembre - L’admiration des rosiers rouges, visibles en début ou fin de rangs du vignoble, fut l’occasion d’évoquer que l’une des mesures écologiques adoptées pour protéger les vignes d’insectes "prédateurs" consiste en la plantation de plantes "compagnes" , comme le rosier, protégeant la vigne.

Et ...du “Clos des Bruneaux” (“Brugnauts”) au ....Jardin du “Clos des Sources” - en passant par l’ancienne “rue Pavée”

Plus loin, en tournant à droite après l’institution scolaire desJeunes Apprentis d’Auteuil - Saint Gabriel le sentier dit rue des Bénards - voie très étroite, bordée de murs et qui prolonge la rue du même nom un coup d’oeil sur notre droite à l’endroit d’une brèche dans les hauts murs, due à des travaux au Centre d’Insertion Social et Professionnel Jean Caurant, permet d’apercevoir son vaste et ancien parc (bassin, colonne corinthienne d’où émerge à son sommet une plante sauvageonne, et grand séquoïa de plus de 30 mètres). L’endroit est privé, il faut être autorisé pour entrer au CISP.

Arrivé à la place du 13 Octobre (qui rappelle ici les combats de la guerre de 70) , le groupe a observé d’un côté à droite le début de la rue semi piétonne P. Neruda et de la rue pavée des Monceaux.. L’itinéraire s’est engagé de l’autre côté, vers le centre ville, traversant d’abord l’avenue Albert Petit, dans la rue de la Mairie - là, se succèdent les deux monuments consacrés aux deux guerres mondiales de notre XXème siècle  :

celle dite la Grande avec ses alignements de noms ( auxquels s’ajouteront les noms de ceux de 39, de ceux de la déportation, des fusillés, de la Libération, et ceux de l’Algérie, Indochine, et Corée) - de part et d’autre, “LE Soldat", casqué, debout, appuyé sur le fusil, déterminé sans doute, mais sans héroïsme, et "LA Femme - Mère - Patrie", pensive ? un bouquet à la main - entre grille et Monument aux Morts, oeuvre du sculpteur Paul Landowsk , gazon et parterre de fleurs.

puis, entre la Mairie et cet hommage à ceux de 14-18 - dans une partie de l’espace où avait été réalisé en 1900-1904, le premier Jardin public et d’agrément de Bagneux, appelé "Jardin de la mairie", ou "Le Square" ou "Le Square des écoles", voire "le Square de Bagneux" ( sous le premier mandat de Monsieur Tissier, maire de Bagneux de 1899 à 1935) - un lieu de mémoire, entièrement consacré à la période de 1940-45, avec ce second monument - œuvre du sculpteur Pierre de Grauw, dont l’atelier se trouvait à Bagneux, intitulé “LE CRI” ou Monument à la Résistance : en "rideau de scène", derrière la sculpture d’un corps dressé, pathétique, les silhouettes anonymes finement gravées, en compagnie d’un poème d’Aragon "Celui qui croyait au ciel / Celui qui n’y croyait pas" et, en contre bas, une plaque portant les noms de 16 des camps de concentration qui ponctuèrent les territoires de l’Europe sous le nazisme, ainsi qu’une urne contenant des cendres du camp de Mauthausen,(évocation rarement aussi complète, de la Déportation commentera une des participantes à notre parcours), - des bouquets posés au sol, composent ici avec une courte haie de rosiers, un autre hommage à la vie - libre

La rue de la Mairie, de son ancien nom “rue Pavée”, a conduit à la rue des Fossés, en travaux (réfection moderne des pavés en secteur semi piétonnier) où nous nous arrêtons : derrière le portail qui ouvre sur le Clos des Sources(1670) à la belle façade, abritant les bureaux des Soins Infirmiers à domicile et son bâtiment annexe, le siège de l’association "Les Amis de Bagneux", et en son centre,un petit parc avec son pigeonnier (tel une maisonnette en bois) qui vient d’être restauré. Il attend des habitants dès que les prédateurs auront été dissuadés ... Notre visite (autorisée sur demande) en la présence amicale de Mme la présidente des Amis de Bagneux, nous permit de nous rafraîchir au jardin.

...Deux parcs et ...une glacière - cachée au désespoir des singes ...

C’est par le parc Saint-Etienne, ancien camping jusque dans les années cinquante, que nous avons rejoint le parc Richelieu. La traversée, entre deux parcs, de la rue Etienne Dolet, pavée - et piétonne s’il en est une, qui exclue totalement les véhicules puisqu’un escalier la délimite à l’autre bout , tandis que les feuillages, débordant des hauts murs qui la longent lui composent une lumineuse voûte - a ravi les visiteurs.

Le contraste avec la chaude température fut alors immédiat avec l’arrêt à la glacière dissimulée sous les frondaisons du parc Richelieu : située non loin de la Maison Richelieu (appelée à devenir la Maison de la Musique et de la Danse à partir de septembre 2010 après des transformations très importantes) elle est veillée par la statue d’un chérubin énigmatique surplombant une vasque de pierre fleurie par les jardiniers municipaux. Un de nos guides a présenté la description et le fonctionnement de cette glacière à l’époque où elle conservait de la glace, nécessaire à la fabrication de sorbets et autres mets glacés. L’entrée en étant interdite car certainement périlleuse, observation n’a pas été faite de l’importance de ce monument principalement souterrain, l’imagination a donc été fertile.

Quand l’art des jardins voisine avec le jardin des arts ...

Non loin, une autre maison, cette fois Maisons des Arts (anciennement celle “dite du vétérinaire”), possède un jardin mi potager, mi agrément, dont une partie est naturelle. Le portail étant désormais ouvert, nous avons pu nous y rendre depuis le Parc Richelieu, tout heureux que le parcours ait pu ainsi se poursuivre par les allées de fleurs et d’arbres, réveillé par des oeuvres accrochées (poupées de papier dansant dans la brise, ..) qu’ont réalisé des élèves et artistes en arts plastiques.

D’une friche à l’autre, et un bel intermède ...pour les plus courageux, sur les "hauteurs" du Parc F. Mitterrand

Au débouché, l’avenue Albert Petit a permis au groupe de promeneurs de descendre jusqu’à la Plaine de Jeux Maurice Thorez ; c’est en son sud qu’une friche persiste - mais pour peu de temps encore puisqu’un projet de construction est planifié ...

Le parc François Mitterrand est alors tout proche et c’est à l’assaut de ses hauteurs qu’il fut possible d’apercevoir les pies nerveuses et un geai méfiant dans les arbres feuillus, tandis que le long d’une sente sauvage, l’aubépine fleurissait blanche et rose.

Il était alors temps de remonter la rue des Blains - mi piétonne - mi cyclable et moto cyclable et depuis peu dans sa partie haute accédée par les automobiles des riverains habitant les toutes nouvelle résidence et maisons de ville - pour aboutir rue des Mathurins. Le secteur est en partie dédié à la pratique des sports extérieurs (course à pied, ballons, athlétisme etc.) avec deux stades, des équipements, la Maison des Sports et non loin les terrains de tennis des Mathurins.

Là où friche largement plantée et ancien verger s’épanouissaient en compagnie, sur le lieu dit “les Mathurins” ...

C’est depuis les pavés de la rue des Monceaux que les visiteurs ont un premier aperçu de la friche des Mathurins. De ce côté, une modeste partie de terrain mise en réserve doit rester à l’écart des grands travaux prévus sur le reste de la friche. Au sol, outre des amas divers (dont des détritus, dépôts sauvages près de la belle grille restée un temps entr’ouverte) de grandes souches : les plus anciennes recouvertes de mousses, témoignent du passé boisé de ce terrain, tandis que d’autres, qui vieilliront à leur tour, offrent quelques stigmates du passage récent des engins ayant “travaillé” le sol pour le consolider. Au delà de cette partie de friche préservée ("sanctuarisée”) restée encore assez boisée, des ravages ont eu lieu par la coupe de la végétation et des arbres : le contraste interroge.

En effet, au retour de la promenade, par la rue des Mathurins, prenant fin rue de la Porte d’en Bas, à nouveau face à l’école A. Petit, le groupe a longé cet espace enceint de grillages et a appris par la voix des balnéolais présents, que bien qu’encore un peu arboré, le paysage existant il y a quelques mois a été complètement transformé (coupes des arbres et bouleversement du sol pour permettre le comblement des carrières de gypse du sous-sol, à l’automne 2009) et préparer à la fin de l’hiver 2009-2010 des projets immobiliers d’envergure.

Les regards ont porté dans plusieurs directions : vers ceux des grands arbres fruitiers (poiriers) qui n’ont pas été éliminés, tandis que les monceaux de terre et de caillasses où se mêlaient des branchages et des morceaux de troncs, faisaient évoquer ceux des arbres coupés d’essences variées (cerisiers, robiniers, érables), ainsi que les arbustes et le couvert végétal, broyés - refuges des oiseaux et du renard, visiteur de la nuit, chacun délogé à des degrés divers...

...Un “Jardin naturel” à Bagneux ... ?

Un projet équitable de constructions et de préservation et valorisation du site - intégrant la réalisation d’ un “jardin naturel” sur une partie de l’espace de cette friche, est défendu par l’Association "Habiter rue de la Porte d’en bas et quartier des Mathurins". Le recours qu’elle a déposé auprès du Tribunal Administratif de Versailles contre le permis de construire de la SEMABA, pour faire respecter le PLU, aurait pu être évité si les enjeux concernant la biodiversité en ville avaient été appréciés comme ils auraient pu et dû l’être ; ces enjeux ne laissent pourtant pas indifférents les visiteurs dotés de bon sens.

L’évocation de l’histoire du lieu - terres à vignes, cultivées ici sur ces parcelles comme en beaucoup d’autres endroits de Bagneux et alentours, pour les besoins d’une des abbayes à qui des fiefs avaient été concédés, celle de la congrégation religieuse des frères Mathurins (de la congrégation des Trinitaires) ensuite, ferme, jardins et verger, fréquentés des enfants du quartier devenus adultes depuis, jusquà sa clôture par la municipalité pour raison de sécurité - a été très écoutée.

Tous auront compris qu’une ville située en petite couronne comme Bagneux, doit redoubler de vigilance pour conserver son patrimoine naturel et donner toute leur place, chaque fois que possible, aux milieux favorables à une riche bio diversité. Sinon, au rythme actuel ... En détruisant les éco systèmes c’est de la vie présente et à venir que l’on détruit.

Ainsi le plaisir d’arpenter et de regarder (un peu “autrement”) par une belle journée de mai, une partie significative du territoire de notre commune, s’augmentait de la perception qu’ existait au coeur de nos villes, des biens qui ...n’ont pas de prix.

LE DIAPORAMA :

Se succédant dans un ordre aléatoire, retrouvez quelques unes des vues qui ponctuent ce parcours.